Gallmeister, noire nature?

Pas de critique aujourd’hui. Ce n’est certainement pas que je n’ai plus rien à dire, au contraire. Je suis plongée dans le nouveau Henning Mankell, L’homme inquiet, que j’ai la chance de lire avec un peu d’avance par rapport à la sortie québécoise (merci Dimedia!). Je devrais pouvoir vous en dire plus d’ici quelques jours. Et puis il y a aussi un vieux James Lee Burke qui m’attend sur une table et qui s’en vient bientôt.

Mais j’ai pris le temps d’écrire pour le blog de la librairie Monet un article sur les éditions Gallmeister et leur collection Noire que j’ai découvert avec Craig Johnson et dont je ne me lasse pas. Si ça vous tente d’aller lire, ça se passe ici: Le délivré

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7 commentaires sur “Gallmeister, noire nature?”

  1. Éric Forbes Says:

    James Lee vient à Montréal ?

  2. Morgane Says:

    Sur ma table de salon, ça m’étonnerait. Mais j’aurai au moins Dave Robicheaux comme sujet sur mon blog. Il faudra que ça fasse l’affaire, parce que c’est tout ce que j’ai 🙂

  3. Éric Forbes Says:

    Me semblait… J’ai abandonné James Lee, il y a quelques années, je trouvais ses histoires un peu redondantes. J’y reviendrai sûrement. Là je me plonge dans le dernier dernier dernier Rebus. Qu’ont donc les auteurs à abandonner leurs personnages ?
    John Harvey, Henning Mankell, Ian Rankin.

    • norbert spehner Says:

      Il ya plusieurs raisons possibles. Certains auteurs, occultés par leurs créatures, développent une certaine jalousie vis-à-vis de ces vampires qui sucent le sang de leur renommée (Conan Doyle). D’autres le font par lassitude, pour se renouveler ou tout simplement parce qu’ils ne sont plus sur la même longueur d’onde que leur progéniture. Mankell a fini par haïr Wallander, Agatha Christie a cherché pendant longtemps à se défaire de Poirot (sans succès à cause de ses éditeurs réclacitrants), etc… C’es peut-être aussi dans l’air du temps: le héros sont fatigués…

      • Morgane Says:

        Je comprends d’autant plus cette réponse maintenant que j’ai terminé le dernier Mankell. Wallander est effectivement fatigué. À faire évoluer leurs héros dans une vie « normale », les auteurs n’ont pas le choix de les faire vieillir. Tout a une fin. Je crois aussi que cela peut permettre à un auteur de se réinventer par la suite et au lecteur de ne pas se lasser.

  4. BiblioMan(u) Says:

    J’en ai lu quelques uns de cette maison d’éditions (Les 2 premiers Tapply et un des Craig Johnson) mais ton rappel a suffi a me faire aller en librairie et acheter le Tenuto. Les premières pages ont suffi à me décider.

    • Morgane Says:

      Je n’ai pas encore lu celui-là mais il me tarde définitivement. Je vais peut-être me lancer d’abord dans Shibumi sur les conseils de certains sur ce blog et ceux d’Oliver Gallmeister lui-même en visite au Québec. Si c’est l’éditeur qui le dit 🙂


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